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Nouveaux horaires, nouvelles coordonnées du Centre Culturel Multimédia

Depuis le transfert de la bibliothèque intercommunale de Saint-Eloi-de-Fourques à la commune, de nombreux changements sont intervenus. La bibliothèque est redevenu un Centre Culturel Multimédia. Un retour aux sources et une renaissance, tout à la fois ! Farida Lefèvre sera désormais votre nouvelle interlocutrice.

Nouveaux horaires, nouvelles coordonnées du Centre Culturel Multimédia

Nouveaux horaires du CCM de Saint-Eloi-de-Fourques

Le Centre Culturel Multimédia est ouvert au public les mardi, mercredi, vendredi et samedi sur les créneaux suivants :

  • les mardi, mercredi et vendredi de 13 h 30 à 18 h 45
  • le samedi de 10 h 00 à 12 h 00

Nouvelles coordonnées du CCM de Saint-Eloi-de-Fourques

Pour rechercher de nouveaux livres dans nos dernières acquisitions, nous vous avons mis à disposition un module de recherche, ainsi qu’un guide d’utilisation de la Médiathèque Numérique de l’Eure.

Les services proposés

Parce que notre bibliothèque reste à vocation intercommunale, nous faisons de la lecture publique aux pensionnaires de l’EHPAD d’Harcourt et aux élèves de l’école de Bosrobert.

Sur les heures d’ouverture, vous disposez d’un accès à partir de nos machines ou de vos matériels via notre Wifi à Internet. Pour les scolaires et pour les familles ne disposant pas ou en panne d’imprimante, nous vous proposons de venir imprimer vos documents.

Le mercredi après-midi, Farida est aussi présente pour l’aide aux devoirs de vos enfants, du CP à la 3e.

Sur les heures d’ouverture, sachez que vous pouvez venir jouer avec vos propres jeux ou bien avec ceux que nous avons mis à votre disposition.

Message du 8 mai

Faire le parallèle entre ce qui s’est passé au cours de la 2e guerre mondiale et la guerre que mènent les Russes contre l’Ukraine est une injure faite à la mémoire des 60 millions de morts entre 1939 et 1945. N’oublions jamais la singularité de ce que furent la barbarie nazie et les 6 millions de juifs exterminés dans les camps !

Message du 8 mai

Le 8 mai 1945 est la date de la capitulation de l’Allemagne nazie. C’est aussi la victoire des forces armées anglaises, canadiennes, australiennes, américaines qui ont libéré une grande partie de l’Europe et la France, aidées dans notre pays par l’armée des ombres et les forces libres conduites par le Général de Gaulle. N’oublions pas, non plus, les Russes dont la contribution à la victoire fut décisive. Ils furent les premiers à libérer les camps d’extermination de l’est Polonais, ceux d’Auschwitz-Birkenau, de Belzec, de Chelmno, Majdanek, de Sobibor et de Treblinka. Ils montrèrent les chambres à gaz, les fours et les charniers de la barbarie nazie. Cette guerre n’était pas de même nature que toutes celles qui la précédèrent et qui la suivirent. Elle était avant tout le fait d’une idéologie délirante divisant l’humanité en deux blocs : une race supérieure d’un côté et des sous-hommes de l’autre qu’il fallait exterminer. Et les nazis n’entendaient pas s’arrêter aux juifs, aux tsiganes, aux handicapés, aux homosexuels. Dès Le 15 mars 1940, Himmler, le chef de la SS déclarait : « Tous les travailleurs qualifiés polonais seront exploités par notre complexe militaro-industriel. Plus tard, tous les Polonais disparaîtront de la surface de la Terre. Il est essentiel que la grande nation allemande envisage l’élimination totale des Polonais comme une tâche prioritaire. » L’ambition était donc aussi d’exterminer les Polonais et sans doute bien d’autres encore.

Hélas, si la guerre s’arrêta en Europe, elle se poursuivit encore dans le pacifique plusieurs mois encore jusqu’à la capitulation du Japon le 2 septembre 1945, après que les Américains ont utilisé l’arme atomique par deux fois à Hiroshima et à Nagasaki les 6 et 9 août 1945.

Dès le 15 mars 1944, toutes les partis politiques, des gaullistes aux communistes, les syndicats de la CFTC à la CGT, les forces résistantes s’unirent pour penser l’avenir de la France en définissant le programme du Conseil National de la Résistance. Une fois la France libérée, ces hommes d’exception mirent en œuvre deux des plus grandes réformes que notre pays ait connu. Par une ordonnance du 21 avril 1944, le Comité français de la Libération nationale accorda le droit de vote aux femmes de notre pays. Et puis, par les ordonnances du 4 et 19 octobre 1945, ils créèrent la Sécurité Sociale. Ils nationalisèrent l’énergie par la constitution d’EdF en 1946, les assurances et les banques ainsi que les entreprises collaborationnistes comme celle de Louis Renault. Ce mouvement ne fut pas que français. Il toucha tous les plus grands pays du monde, engendrant un mouvement de croissance et de bien-être sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Que restera-t-il dans 20, 40 ans de la commémoration du 8 mai 1945 ? Qui sera là, face aux monuments aux morts de nos villages, pour parler de cette guerre, pour dire nos morts, pour entonner la Marseillaise ? La guerre de 39-45 a fait au total 60 millions de victimes dans le monde, 567 600 pour la France dont 350 000 victimes civiles. Dans notre village, ce sont au total 9 militaires et civils dont nous honorons la mémoire.

 

Denis Szalkowski
Maire de Saint-Eloi-de-Fourques

Vide-dressing par l’APE EPBM le dimanche 20 mars

L’Association des Parents d’Elèves des communes de Saint-Eloi-de-Fourques, de Saint-Paul-de-Fourques, de Bosrobert et de Malleville-sur-le-Bec organise un vide-dressing le dimanche 20 mars de 9 h 00 à 17 h 00 dans la grande salle d’activités de Saint-Eloi-de-Fourques.

La buvette et la restauration sont organisées sur place par l’APE EPBM et les P’tits Loups de nos campagnes. Vous pouvez vous inscrire :

Le prix est de 3.50 euros la table.

Vide-dressing par l'APE EPBM le dimanche 20 mars

Annulation de la foire à tout : le déchaînement des militants de LaREM

Annulation de la foire à tout : le déchaînement des militants de LaREM

Alors que les membres du Conseil municipal, moteurs dans l’organisation de la foire à tout du 28 août, ont décidé collectivement d’annuler la foire à tout, le député de LaREM, Monsieur Fabien Gouttefarde, m’a accusé personnellement de ne pas jouer le jeu de la politique gouvernementale du pass sanitaire. J’aurais aimé qu’il soit aussi réactif sur les questions de violence que nous avons rencontré à l’école de Saint-Eloi. Dans un sketch improbable digne de Laurel et Hardy, Monsieur Jérôme Pasco, maire de Conches a ensuite pris le relais en m’accusant de mentir, manipuler, d’inventer, de fantasmer, de délirer. Le mot de « fou » et de « complotiste » a même été employé, alors que j’échangeais sur l’ivermectine, utilisée dans un EHPAD de Seine-et-Marne avec succès en mars 2020 et en Tchéquie depuis mars 2021 avec succès. Le bougre n’a pas su quoi répondre.

L’étape suivante de cette politique serait-elle de nous empêcher d’avoir des opinions divergentes sur les mesures sanitaires qui, depuis mars 2020, ne ressemblent pas à grand chose ? J’ai même eu droit de la part du maire de Conches à une leçon de choses sur le fait que je déshonorerais ma fonction. Tout le monde connaît mon engagement pour ma fonction. De quel droit, au juste, ce collègue permet-il de me juger ? A quelques mois des élections, les militants de LaREM s’affolent.

Aucune raison politique : des raisons techniques !

Or, nous ne sommes pas les seuls à prendre cette décision pour des raisons essentiellement techniques. La foire à tout de Thiberville vient aussi d’être annulée. Nous n’avons pas tout simplement la capacité humaine de contrôler ces pass sur l’événement, tout en craignant un trouble à l’ordre public. Et puis, il y a à prendre en compte tous ces habitants rentrant de vacances qui n’ont pas pu disposer d’un schéma vaccinal complet. Il y a tout de même de quoi s’interroger sur le bien-fondé de la mise en place de ce pass sur un événement de plein air comme une foire à tout. D’ailleurs, les organisateurs des foire à tout de Caumont et de Bourgtheroulde dimanche dernier ne se sont pas encombrés avec la mise en place de ce pass sanitaire.

Parlons de République.

Mes positions personnelles contre la mise en place du pass sanitaire et contre cette vaccination qu’on impose aux Français n’ont donc strictement rien à voir avec cette décision d’annulation. Comme des millions de Français, j’ai toujours eu une détestation pour l’autoritarisme. En tant que Maire, je suis aussi le garant des valeurs de notre République – la liberté, l’égalité et la fraternité – bafouées par des décisions sanitaires qui n’ont pas empêché la mort de 113000 personnes. Je n’ai, je crois, aucune leçon à recevoir. Le temps et l’histoire finiront par juger.

Denis Szalkowski
Maire de Saint-Eloi-de-Fourques

Extraits choisis

Foire à tout le samedi 28 août 2021

La Mairie organise l’édition 2021 de la foire à tout de Saint-Eloi-de-Fourques le samedi 28 août 2021 de 8 h 00 à 18 h 00.

L’accueil des exposants aura lieu dès 6 h 00 du matin, avec café et viennoiserie. La buvette et la restauration seront assurés les bénévoles des associations locales présents sur la manifestation, auxquels se grefferont les conseillers municipaux.

L’accès à la manifestation sur laquelle se grefferont de nombreuses animations est totalement gratuit. Les exposants bénéficient tous de 3 mètres linéaires gratuits, le mètre supplémentaire étant fixé à 2 euros. Vous n’avez pas besoin de réserver pour venir participer à la foire à tout.

Foire à tout le samedi 28 août 2021

Commémoration du 8 mai 1945

Commémoration du 8 mai 1945

Le 16 juillet 1995, Jacques Chirac, alors Président de la République, reconnaissait, à l’occasion du 53e anniversaire de la rafle du Vél’ d’Hiv’ la responsabilité de la France dans la déportation vers l’Allemagne des Juifs de France au cours de l’occupation de notre pays par les nazis. Oui, les autorités françaises et certains de nos compatriotes ont contribué activement à envoyer des hommes, des femmes et des enfants dans les camps de la mort de Chełmno, Bełżec, Sobibór, Treblinka, Auschwitz–Birkenau et Majdanek, parce qu’ils étaient juifs. Oui, comme l’a si bien dit Jacques Chirac ce 16 juillet 1995, « La France, patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable ».

Pour autant, la France est un des pays d’Europe qui aura envoyé le moins de juifs dans les camps d’extermination. Comment pourrions-nous oublier tous ces justes dont les noms figurent sur les murs des monuments du mémorial de Yad Vashem, à Jérusalem ? Au risque de leur vie, c’est leur humanité qui les aura poussés à tendre une main fraternelle, refusant la banalité du mal. Tous ces justes de Pologne, de France, des Pays-Bas et d’ailleurs auront permis de sauver des centaines de milliers de personnes de la barbarie nazie.

Si nous sommes là ce matin, c’est pour nous souvenir que des soldats américains, anglais, canadiens, australiens, français aidés par les résistants de tous les pays se sont sacrifiés pour mettre fin à ce projet funeste d’extermination des handicapés, des opposants politiques, des Juifs, des Tziganes, des prêtres, des pasteurs, des Témoins de Jéhovah, des homosexuels, des criminels et des vagabonds. En France, la révolution nationale voulue par le Maréchal Pétain et Pierre Laval n’aura pas eu le rôle de bouclier que lui prêtent tous ces historiens révisionnistes de pacotille. Non, De Gaulle et Pétain ne sont pas les deux faces d’une même politique. De Gaulle était là pour nous sauver du naufrage, dans lequel le régime de Vichy nous avait engloutis avec l’occupant allemand.

Pétain a certes été le héros de Verdun en 1916. Il aura aussi mis un terme en mai 1917 au massacre de 200 000 Français et tirailleurs sénégalais envoyés à une mort certaine sur le chemin des Dames par le général Nivelle. Hélas, il aura surtout été, en tant qu’artisan de la mise en œuvre d’une politique collaborationniste profondément antisémite, un des acteurs majeurs de l’indignité de la France de 1940 à 1944, pour laquelle il aura été jugé et condamné en juillet 1945 par la justice française. Gageons que nos enfants et nos jeunes sachent s’en souvenir. Et c’est aussi là la raison de notre présence, en ce samedi matin 8 mai 2021, devant ce monument honorant la mémoire des victimes militaires et civiles de notre village au cours de cette 2e guerre mondiale qui aura endeuillé et marqué tant de familles à jamais.

Denis Szalkowski
Maire de Saint-Eloi-de-Fourques

Réponse à Monsieur Laurent Le Mercier

Réponse à Monsieur Laurent Le MercierMonsieur Laurent Le Mercier a répondu par voie presse, là où nous l’attendions plutôt sur des propositions et des solutions. Nous avons été reçus vendredi 19 février, à notre demande pour lui exposer la situation exacte qu’il ne semblait absolument pas connaître, autrement qu’à travers les papiers qui étaient posés devant sa conseillère présente à la réunion. D’emblée de jeu, il nous a dit notre incompétence sur les questions scolaires. Il nous a demandé quelles étaient nos solutions. Et nous lui avons proposé un dédoublement temporaire de classe, reprenant la proposition que le corps enseignant nous avait faite le jeudi 18 février.

En gros, il nous a fait savoir par voie de presse interposée que tout était sous contrôle, que les dossiers étaient en cours de traitement pour un des enfants de la classe. Normal : ce dossier, après un rendez-vous avec la maman d’un des enfants, nous l’avons scannérisé et envoyé à la directrice remplaçante qui a pu ainsi le compléter. Et il paraîtrait que le Maire que je suis mettrait de l’huile sur le feu. De l’huile sur le feu, c’est Monsieur Le Mercier qui est en train de la déverser sur les braises de la colère des parents. Pouvez-vous croire que des parents d’élèves obligés de prendre une journée sur leurs jours de congés envisagent de bloquer l’école où apprennent leurs enfants par gaieté de cœur ? Croyez-vous un seul instant que les parents n’auraient que ça à faire ?

Et puis, après avoir tenté vainement de faire croire que les parents et les élus étaient contre l’inclusion du handicap, il nous reproche maintenant de ne pas tenir la cantine où des menaces avec couteau ont été proférés contre des enfants par d’autres enfants. Relativisons : ce ne sont là que les menaces d’enfants de CP-CE1. La cantine étant un service optionnel, la présidente du SIVOS EPBM, Madame Chantal Depré, a décidé d’exclure ces enfants de la cantine compte tenu des menaces, des insultes répétées (« sale pute », « salope », etc). Autrement dit, Monsieur Le Mercier, nous, élus, faisons notre travail et nous agissons au quotidien pour la sécurité des enfants.

Mais, au fait d’où viennent ces comportements menaçants et ces insultes ? Elles viennent de loin. Elles viennent de maternelle. Pourquoi l’institution que vous représentez est-elle donc totalement infoutue de signaler à l’action sociale – comme c’est son devoir de le faire – tous les faits  de violence dont sont victimes les instituteurs, les institutrices et les enfants ? Et vous nous reprochez de mettre de l’huile sur le feu, là où vos services n’exercent pas correctement la mission qui est la leur !

Il y a deux ans, vous nous aviez proposé un maître G sur notre regroupement, au CHSCT devant les syndicalistes présents. J’en ai eu témoignage. Il y avait le feu au lac. La directrice de l’école de Saint-Paul-de-Fourques venait de prendre un coup dans le bas ventre d’une rare violence de la part d’un enfant de CM1. Nous vous avions pourtant alerté de la situation, avec mon collègue Yves Ruel. Vous avez donc menti pour apaiser la colère légitime des enseignants qui n’en peuvent plus de ne pas être écoutés par leur hiérarchie. Leur métier est d’apprendre à lire, à écrire et à compter. Il n’est pas d’être éducateur social ou psychologue.

Concernant les problèmes que nous avons cette année dans cette classe de CP-CE1, pour en avoir discuté avec mes collègues, sachez qu’ils sont loin d’être isolés. Le buzz médiatique, dont nous nous serions volontiers passés si vous aviez daigné nous répondre en nous apportant des solutions, n’est pas un cas isolé. Mais, voilà, tout le monde se tait ! J’en ai discuté avec mon collègue maire de Calleville, Frédéric Scribot hier soir qui rencontre des difficultés du même type. Il m’a assuré de tout son soutien. D’autres élus m’ont confirmé les mêmes événements. Pareil chez eux. Je crois savoir qu’il y a eu d’autres cas lourds. Les langues se délient et c’est bien là votre problème. Cette réalité ne semble pas vous convenir. Alors, changeons la réalité.

En tant qu’élu, j’ai donc le devoir tout d’abord de soutenir nos enseignants, les parents et les enfants surtout. Nous consacrons un tiers de nos budget de fonctionnement à nos écoles.  En tant qu’élu, j’ai aussi le devoir de dire que les moyens pour faire face à tous ces problèmes récurrents sont totalement insuffisants ! Alors, de votre carrière, Monsieur Le Mercier, sachez que nous n’avons rien à faire. Je pense tout de même que vous vous honoriez à reconnaître qu’il y a un vrai problème et surtout à y trouver des réponses extrêmement urgentes. Pour rappel, vous êtes un fonctionnaire au service de notre République et de ses élus, au service des parents et des enfants de notre pays. Votre rôle est de nous apporter des solutions. Je reste disponible pour que nous puissions ensemble éteindre les raisons à cette colère légitime.

Denis Szalkowski
Maire de Saint-Eloi-de-Fourques

Le décès de Madame Malle

Madame Malle est décédée le 26 octobre 2020 à Évreux. Née en 1933, elle était âgée de 87 ans. Malade depuis de nombreuses années, elle restait curieuse de ce qui se passait dans notre village. Récemment encore, elle nous avait demandé d’installer des bancs autour de la mare Vent le Bert, où elle aimait s’y promener.

Nous aurons tous le souvenir d’une femme digne, volontaire et soucieuse de prendre des nouvelles de nos proches.

Les obsèques d’Odile Malle auront lieu à Saint-Eloi-de-Fourques, où une célébration religieuse sera donnée dans l’église de notre commune le vendredi 30 octobre à 14 h 30. Son inhumation aura lieu ensuite dans notre cimetière vers 15 h 30. Gageons que la crise sanitaire nous permettra à tous de lui rendre un dernier hommage.

Nous avons bien évidemment une pensée pour ses enfants ainsi que pour toute sa famille qui auront su l’accompagner et la chérir dans les dernières années de sa vie.

Vous pouvez lui rendre un dernier hommage à la chambre mortuaire, rue Léon Schartzwenberg, à Evreux.

Des aides du département de l’Eure pour décarboner notre école

Photos de deux radiateurs posés dans la classe de CE1/CE2 de Madame Leroy

Cette année, nous avons prévu, au sein du SIVOS EPBM, de remplacer le chauffage au fuel de l’école Claude Monet de Saint-Eloi-de-Fourques par des radiateurs électriques « intelligents ». Ils nous permettront de faire d’importantes économies d’énergie et de chauffage, que nous avons déjà réalisées avec ce type d’équipement à Bosrobert.

La Présidente du SIVOS a obtenu 30% de subventions de la part du Conseil départemental de l’Eure, présidé par Pascal Lehongre. Nous remercions tous les conseillers départementaux qui, en commission, ont accepté de financer ce projet dont l’objet est de continuer à nous décarboner.

Sur un montant total de 28997 euros, le Conseil départemental de l’Eure aura donc versé 8700 euros de subventions. Sachant que les banques ont refusé de nous financer, cet aide financière est particulièrement appréciable !

 

Le décès de Martine Vatinel

Le décès de Martine Vatinel

Conseillère municipale dès 1995 aux côtés de Lionel Prévost, l’ancien maire de Serquigny, Martine Vatinel fut à partir de 2001 maire adjointe en charge de l’enfance de la jeunesse et de l’action sociale. En 2018, elle fut élue présidente du CIAS de l’Intercom Bernay Terres de Normandie

Elle avait été écartée, sans ménagement, de son poste à l’occasion de la mise en place de la nouvelle gouvernance à l’Interco. Elle n’aura pas pu, hélas, présenter de liste face à Marie-Lyne Vagner. Elle m’avait remercié chaleureusement pour mon intervention, alors que je dénonçais l’absence de présentation de projet pour le CIAS. Contrairement aux membres actuels du CIAS, Martine Vatinel était attachée, comme beaucoup d’entre nous, au maintien de la compétence péri-scolaire au sein de l’Intercom.

Avec sa disparition intervenue le 16 août à l’âge de 65 ans, nous avons perdu une femme de grande qualité,  pleinement engagée dans l’action sociale et dans la société. Je voudrais, au nom de notre village de Saint-Eloi-de-Fourques, apporter tout mon soutien à sa famille et à ses proches dans cette très lourde épreuve.

Denis Szalkowski
Maire de Saint-Eloi-de-Fourques

NB Nous connaîtrons la date de son inhumation dans les tous prochains jours.